« Tristesse à paresse n’y compte plus à partir du moment où tu sais cela » 19.12.18

La différence de représentation ne se soulage pas tant que l’expérience ne représente rien…

Parfois il se peut que le regard se parsème de tristesse, sans offense à celui qui se confesse. Il n’en est rien. Apporter un discernement maintenant permet un temps soit peu de faire en sorte que la tristesse s’égard enfin à ce qu’elle n’est pas. Les simulacres de sensations et perceptions seulement mis en oeuvre par l’esprit. Dans son interrogation de la vie, celui ci se permet de contempler la forme tout en l’étant. Il n’y a de regard neuf porté que sur ce qui se découvre à soi, sans prendre partie ni position mais contempler la création de cet esprit saint ne souhaitant que vérifier son approbation de son existence. Celle ci est comparable au fruit fendu non défendu, disséqué, coupé en deux afin d’en voir son noyau qui n’est autre que continuité à son expression de vie qui lui donna sa forme qui fait partie intégrante de ce et ces noyaux.

Tristesse à paresse n’y compte plus à partir du moment où tu sais cela. Sers toi s’en comme le vent qui passe et diffuse ces nouvelles graines un peu plus loin, celles qui font agir la vie dans son immensité. 
Même si de par l’apparence on pourrait confondre le parfum et la vie. Les deux sont associées, simplement n’en fait plus distinction, écoute les s’exprimer chacune de leur côté. Enfin rassemblé à ce qu’elles étaient et sont, unies par l’immensité dans l’infini. Leur diffusion ne se passe que si tu comptes transmettre et infuser cela dans ton expérience de création. Il se peut que tu ne t’en rendes pas totalement compte lorsque tu es pris à défaut de ta propre création. Cela est gage d’acceptation de ta création, de laquelle tu peux te défaire en t’y mettant ailleurs autrement. Ceci n’est jamais un souci. 
Même si tu n’y parviens pas maintenant dans l’instant, car chaque soupir est un instant te créant cette opportunité, tu peux donc voir que tu en as des milliards. Laisse toi s’y y parvenir sans compter, ni ressasser mais seulement en essayant où bon te plaît. Cesse d’exister sous ta forme te permet de réaliser tel qui tu es dans cette forme que tu t’aies choisi. Aucun secret. Il suffit d’essayer chaque fois que le cœur t’en dit. 

N’oublie jamais ceux qui t’accompagnent dans ta création et à côté. Eux c’est toi, nous nous sommes vous. Permets ici le autant que tu peux de te permettre de distinguer la vérité d’aimer et de l’être. Avance

Message écriture intuitive .19.12.18
Frédéric Rorai Medium